Des formations (de la 4ème à la licence - Apprentissage - Formations pour adultes) dans les domaines du paysage, des services aux personnes, de l'environnement et de la nature, dans un parc paysager exceptionnel de 7 ha en bordure de la rivière d'Auray.
Ce jeudi 9 octobre, les élèves de terminale STAV sont allés à la découverte des produits oubliés de nos contrées : les plantes sauvages comestibles. Grâce à l’œil averti de Pierre Gallène, animateur nature de la Maison des jeunes de Pluneret, ils ont pu découvrir et se familiariser avec les flores bocagère et de pré-salés pleines de surprises. Quid de l’aubépine dont les fleurs, feuilles et fruits se cuisinent ou se dégustent en tisanes. Quid de l’épine noire et de son fruit mûr aux premières gelées. Quid du cynorhodon, fruit de l’églantier et 30 fois plus riche en vitamine C que le citron. Quid de la ronce dont les épines éloignent le promeneur de ses fruits sucrés et des multiples vertus médicinales de ses feuilles. Quid du plantin lancéolé qui a soulagé plus d’un cycliste tombé malencontreusement dans les orties. Quid du sureau et de ses savoureux beignets de fleurs au printemps. Autre lieu, autres saveurs… Plus près de l’eau, sur le shorre (ou pré-salé), nous avons pu déguster la fameuse salicorne, encore surnommée le cornichon des mers, l’obione et ses feuilles salées par le ressac, la betterave maritime et l’aster maritime dont les feuilles agrémentent nos salades sauvages.
Chacun est repartit avec des recettes plein la tête (chips d’obione, sirop de fleurs d’aubépine, beignets de fleurs de sureau, salicorne en condiments ou poêlées…).
Nov 11 2014
Bon appétit bien sûr !
Ce jeudi 9 octobre, les élèves de terminale STAV sont allés à la découverte des produits oubliés de nos contrées : les plantes sauvages comestibles. Grâce à l’œil averti de Pierre Gallène, animateur nature de la Maison des jeunes de Pluneret, ils ont pu découvrir et se familiariser avec les flores bocagère et de pré-salés pleines de surprises. Quid de l’aubépine dont les fleurs, feuilles et fruits se cuisinent ou se dégustent en tisanes. Quid de l’épine noire et de son fruit mûr aux premières gelées. Quid du cynorhodon, fruit de l’églantier et 30 fois plus riche en vitamine C que le citron. Quid de la ronce dont les épines éloignent le promeneur de ses fruits sucrés et des multiples vertus médicinales de ses feuilles. Quid du plantin lancéolé qui a soulagé plus d’un cycliste tombé malencontreusement dans les orties. Quid du sureau et de ses savoureux beignets de fleurs au printemps. Autre lieu, autres saveurs… Plus près de l’eau, sur le shorre (ou pré-salé), nous avons pu déguster la fameuse salicorne, encore surnommée le cornichon des mers, l’obione et ses feuilles salées par le ressac, la betterave maritime et l’aster maritime dont les feuilles agrémentent nos salades sauvages.
Chacun est repartit avec des recettes plein la tête (chips d’obione, sirop de fleurs d’aubépine, beignets de fleurs de sureau, salicorne en condiments ou poêlées…).
Papilles et pupilles furent rassasiées !